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    + Le sentier de mes rêves +

      

     

     

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    Le sentier de mes rêves s'enfouit sous les nuages

    Ceux que l'on voit parfois un matin de printemps

    Quand le ciel aux zébrures d'or ouvre un passage

    Au jour encore hagard et mouillé d'occident

     

    Il a tous les parfums du jour que je distille

    Il a la voix vêtue d'un gros chat ronronnant

    Il a la peau, le souffle qui se trémousse en ville

    Le souvenir très haut au front d'un cerf volant

     

    Echeveau de la vie je me sens toujours libre

    Ainsi seul dans la nuit

    Dis-moi ... Que veux - tu vivre?

     

    Les rêves sont toujours requiem à la brise

    Face à face debout dans nos chagrins d'azur

    D'amour fou ... C'est ainsi tout ce qui magnétise

    Le monde qui revêt son masque de futur

     

    Echeveau de la vie

    J'aimerais te voir libre

    Dans le lit de la nuit

    Dis - moi ... Que veux - tu vivre?

     

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    Place Blanche qui luit sous sa pluie de tonnerre

    Et le feu du soleil qui ruisselle sous les toits

    Où dorment les moineaux cachés dans les chimères

    Où notre solitude se réfugie parfois

     

    Paris au cœur de pierres dans ce fragment d'étoile

    Que le prisme du soir a jeté dans mes mains

    La fenêtre du ciel a déplié sa voile

    S'est gonflé de rumeurs qui s'exhalent au loin

     

    L'horizon s'est bâti des assauts de voyage

    D'un océan maudit dans ses plages égarées

    Le soldat inconnu m'en dit bien d'avantage

    Par la foi de ce Dieu, silhouette brisée ...

     

    Paris es irradié d'une aube sans message

    Notre histoire est ainsi dans nos regards cachés

    Nos mains parfois ensemble tracent le paysage

    De cet étang d'amour en Pierrot désolé

     

    Paris sur l'autoroute où s'enchaînent nos rêves

    Ceux qui volent à l'aurore le soleil réveillé

    A nos rêves cachés et nos illusions brèves

    Que la vie nous arrache quand le jour s'est levé!

     

     

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    + Paris +

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    ALAIN SOUCHON

    RIVE GAUCHE 

     

     

     

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    J'ai traversé le ciel à bord d'un delta-plane

    J'ai vu des étourneaux aux délires interdits

    J'ai vu des météores dans tes cheveux havane

    Dans ton grand lit défait aux lumières de la nuit

     

    Je t'y voyais dormir de fragrances marines

    Je te voyais debout vêtu de peau d'amour

    Je te voyais vibrer de chagrins anonymes

    Aux portes du soleil au bras du petit jour

     

    LENY

    ... tes yeux sont des miroirs

    Tes rires sont éclectiques

    Aux lumières du soir

    Irradiées de musique !

    LENY

    ... Ta peau est une aurore

    Ton sommeil est une île

    Et ton cœur est à bord

    De ses lianes fragiles ...

    Loin au bord des chemins que les forêts caressent

    Dans la vague de l'herbe serpentée par le vent

    J'ai le cœur qui foisonne au désir qui me laisse

    Seule,

    Comme on l'est parfois sous la voûte du temps

     

    C'est l'hiver sur la plaine alanguie de voyages

    Crépuscule où frissonnent ces rêves fous qui meurent

    Que marchent nos destins pour les mêmes rivages

    Ensemble réunis vers les mêmes bonheurs !

     

     

    * Leny *

     

     

     

     

    * Leny *

     

     

     

     

     


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    (ou la solitude vaine)

     

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    La terre a chaud de soleil et succombe

    D'amour corail au travers de ses voiles

    Dans les maisons, les fenêtres s'inondent

    De ce silence bercé par de grands squales

     

    Que mon cœur pèse aux voix de ton absence !

    Et je franchis à mes futurs espoirs

    Cet étang bleu de rêves en transhumance

    Ce nid d'étoiles où remue ma mémoire

     

    Hier, la mer était volcan d'écume

    Au crépuscule des berges passionnelles

    Tu étais là, solitude posthume

    A dévaster mes larmes éternelles

     

     

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     * L'été marin *

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    Mais cette voix que j'entends au lointain

    C'est le sommeil que l'océan refoule

    Et je suis là dans ces vastes chemins

    Où se lézardent les rumeurs de la foule

     

    Mais ... Que fais-tu illustre vagabond

    Aventurier de mes terrains arides ?

    Voiler secret, habitacle sans nom

    Arche maudit de mes soirées torrides ?

     

    L'été fuira comme tu fuis l'été

    Lorsque ton ombre pénètre dans les rues

    Quand les ténèbres s'étreignent sur le blé

    Quand il gémit sous la herse qui tue

     

    L'été sera près de notre patience

    Au gré du cœur et de ses coups de feu

    Moi, j'ai si peur des chagrins de l'absence

    Et des lumières qui brûlent entre nous deux

     

    De notre duel que nos mains se caressent

    Dans ce cosmos de l'automne futur

    Vienne le jour où vivra la tendresse

    Comme la mer vient se fondre à l'azur

     

     

     

    BARBARA

    Dis...quand reviendras-tu ?

     

     

     * L'été marin *

     

     

     

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