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    J'écoutais au loin la musique

    J'étais là, adossée au mur

    Et les photos près des boutiques

    S'alignaient dans les rues obscures

     

    Et ce soir-là était tranquille

    La pluie, claquant sur le trottoir

    Dans la nuit, sillonnait la ville

    De lumière au-travers du soir

     

    J'écoutais au loin la musique

    Et la ville dormait déjà

    Bercée de ses rêves magiques

    Moi,

    Je n'étais déjà plus là

     

    °+°+°+°+°+°+°+°+°+°+°+°+°+°

    °+°+°+°+°+°+°

    °+°+°

    °+°

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    Chimère

    Transport d'étranges lenteurs

    Fièvre sur la bouche

     

    Désolation

    Sur les dunes de ma faim

     

    Loin

    Tes ailes ont joué leur vie

    Sur les spectres de mes aurores

     

    Silence sur mes jours

     

    Tu as emprisonné le soleil !

     

    °*°*°*°*°*°*°*°*°*°*°*°*°*°*°*°*°

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    *Il en est ainsi*

     

     

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    Il en est ainsi

    De ces âmes blanches

    Comme des chiffons traînant sur un sofa

     

    On les sent palpables

    On les effleure un peu des doigts

    Puis

    Ils nous échappent

    Au flanc d'une fenêtre ouverte

     

    Tout simplement

    Une larme dans l'œil

    Sur l'ombre du futur

     

    Sur le sol

     

    C'est le crépitement

    Des chaînes d'un ruisseau

     

    Ce lien qui ne finit jamais de ruisseler

     

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